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09/12/2021

22.

Le moment de se souvenir que endolori et indolore composent l’anagramme la plus stupide de la langue française.

15:08 Publié dans Blog | Lien permanent

08/12/2021

23.

Outre le jour des lumignons, à Lyon et là où les Lyonnais ont bien voulu l'emporter avec eux, le 8 décembre, c'est A festa di Nazione, en Corse, et l'anniversaire de cette femme qui m'aura causé mes premiers tourments et mes premiers succès en écriture. L'occasion de se rappeler que cette nouvelle existe, et qu'elle aura bientôt dix ans (d'édition). Et qu'elle a agrégé de tels talents que je m'étonne encore tous les jours de voir mon nom accolé aux leurs.

15:16 Publié dans Blog | Lien permanent

07/12/2021

24.

Au dernier tiers du temps donné, enfin en finir avec la culpabilité.

13:52 | Lien permanent

06/12/2021

25.

Vingt-cinq notes. Il me reste 25 notes à faire sur un blog qui a douze ans d'âge, dont au moins huit aux articles quotidiens. C'est vertigineux, parfois, l'échéance.

12:39 Publié dans Blog | Lien permanent

05/12/2021

26.

Où l'on remet les Confidences en route.

12:36 Publié dans Blog | Lien permanent

04/12/2021

27.

"Ma nuit dans les livres", la nouvelle écrite dans la nuit de mercredi à jeudi, à la médiathèque Mitterrand de Sète, est désormais disponible ici: 

15:51 Publié dans Blog | Lien permanent

03/12/2021

28.

C'est le premier clip (officiel) de mon ami Eric Hostettler, sur des paroles de par moi-même, c'est signé Eric Guirado et c'est sublime! Et même si vous n'aimez pas, ça vous restera en tête toute la soirée.

17:30 Publié dans Blog | Lien permanent

02/12/2021

29.

La petite musique et la voix suave ont prévenu : il est dix-huit heures moins dix minutes, il faut s’approcher des banques d’emprunt, la médiathèque va fermer ses portes. Il fait nuit noire dehors, déjà, normal, c’est décembre depuis aujourd’hui : le pays s’est un peu plus refermé sur lui-même depuis hier, quand dans un triste pantomime, un homme aigri a osé se revendiquer de Barbara et de Brassens – oui, l’homme d’ici ! – pour prétendre le représenter. Mais il y a toujours une possibilité de s’extraire du laid pour aller vers le Beau, et ce soir, ça n’est pas un quart d’heure de célébrité qu’on m’offre, mais toute une nuit, de maintenant jusqu’au retour de la gentille femme de ménage, « un peu avant six heures », me dit-elle. 18h-6h, l’anamorphose est parfaite, et ce rendez-vous, deux fois reporté, prend date. Initialement, je devais y écrire « Aurelia dans la nuit », une nouvelle qui raviverait ma petite héroïne, mais puisqu’un virus est passé par là, je lui ai consacré un roman, un vrai, un Russe. Qui rejoindra dans quelques mois le grand volume rouge qui tient sa place dans les rayons, ici. S’enfermer dans un lieu de culture, ça n’est pas nouveau : il y eut des nuits au musée et, racontais-je, un auteur suisse, Eugène, qui, dans une petite bibliothèque de montagne, a disséminé les pages de sa nouvelle dans les livres à l’emprunt, créant une espèce de jeu de piste reconstitué. (...)

Extrait de "Ma nuit dans les livres", nouvelle inédite, dévoilée ce soir, 18h30, à la Médiathèque Mitterrand.

12:51 Publié dans Blog | Lien permanent