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30/12/2011

Par l'exemple.

Gérard VEDECHE, 44 ans, en plein exercice de steel.

MY OWN PRIVATE GUITAR HERO.

Image 1.pngC’est sans doute parce qu’il n’a pas encore pris conscience de son talent que Gérard Védèche, 44 ans cette année, a tendance à rapidement trouver les autres formidables. Il faudrait que quelqu’un lui dise, maintenant, que le Steel des autres* n’a rien à envier à la façon dont il manie son Rickenbacher Panda  - en backelite, de 1946 - qui nécessite qu’il joue assis, la main droite affublée, à chaque doigt, de drôles de prolongements métalliques. Et qu’il vive sa partition toute mâchoire dehors, ce qui, chez d’autres, s’apparenterait à une grimace et qui, chez lui, fait que les filles lui trouvent un air de ressemblance avec Romain Duris. Ce qui aide. Ou pas, c’est selon. En tout cas, dès qu’il a posé un pied, sortant de la BX paternelle, à la Casa Musicale, au printemps dernier, pour l’enregistrement de la comédie musicale lycéenne de son ami Eric Hostettler, Gérard Védèche a fait l’unanimité, dans le jeu, dans ce qu’il apporte à un projet : ses sons sont reconnaissables entre mille, dobro et lapsteel n’étant pas, étonnamment, des instruments dont on joue beaucoup ailleurs que dans le blues. Mais il y a autre chose. Si cet homme, qui vit dans un appartement rouge à St-Etienne, a emporté le morceau, c’est parce que son parcours détonne : quand il a intégré la fac de musique à Sainté en 1986, il ne savait, selon Eric et Jaco, ses cothurnes, pas déchiffrer une partition. Et qu’il n’avait même pas, dit-on, de stylo pour prendre la dictée de notes que de toute manière, il n’aurait pas su reproduire…  Pas de déterminisme social ou familial, alors, même si, Alain Védèche – le grand frère, avec qui il a fondé Blues Family– l’a précédé sur les terrains de l’exploration musicale. Avec le blues, donc, et le folk comme obsessions. Avec une belle et talentueuse chanteuse qui les a fait connaître comme professionnels puis qui les a un peu plantés là. Surtout lui. Dans « Destination », elle semblait le prévenir, pourtant, mais il n’y a pas pire innocent que celui qui refuse de comprendre ce qui n’a pas de sens. Les choses les plus simples jamais oubliées, Gérard s’est reconstruit une carrière et un semblant de vie : entre les projets des projets des autres, toujours, ceux de Nicolas Vitas,  Guillo, ou de tous les collectifs auxquels il participe. Sans savoir, encore, qu’il lui faudra présenter un jour son propre projet, que ceux qu’il a aidés viendront colorer de leur présence : un OVNI musical, mi-créatif, mi-pédagogique puisque sa vie et sa semaine se découpent ainsi, entre le collège, le Conservatoire et son activité musicale. Son « vrai » travail, qui manque juste d’une reconnaissance sociale. Parce que Gérard Védèche travaille quotidiennement. Pas un jour, voire un petit déjeuner sans qu’il gratte un peu de ukulélé, ou que le Dobro scintille de son métal. On ne devient pas ce qu’on est sans y consacrer l’essentiel de son existence : vous pouvez lire cette phrase dans tous les sens. Une des chambres de son appartement, emplie de micro, de pieds de guitare pour accueillir la Franck Cheval siglée, est en rénovation permanente : des coussins neufs ont pris place pour les sessions de travail, bientôt, au mur, des plaques de bois empêcheront la réverbération. Des micros pro, des delays, tout prend place pour qu’il puisse travailler professionnellement. Avec des amis, donc, seul, ensuite, puisqu’il le faudra. Ses amis, il les a revisités en fonction de ce qu’ils ont fait. Sans lui, quand les parcours ne correspondaient pas, sans que l’amitié pût être remise en question. Avec lui, parfois, pour un coup de main. A 44 ans, il rencontre des artistes, des auteurs, s’enthousiaste parfois à tort et à travers mais on lui pardonne. Comme on ne peut que lui pardonner quand il sourit d’un air désarmé : pour l’avoir vu oublier de tourner une page du livret des chansons qu’il devait jouer - donc commencer une autre partition que celle que les autres entamaient - retomber sur ses pattes dans un éclat de rire et en plus séduire le public, on sait que le bonhomme a de la ressource, même si les interrogations métaphysiques n’échappent pas plus au guitariste qu’au romancier. A l’orée des choix, entre une plus grande stabilité et, pourquoi pas, un saut dans le vide encore plus marqué (le road-movie américain qu’il ne termina pas, Hemingway à ses côtés sur le side-car ?), il sait qu’on n’existe que par ce qu’on a laissé et qu’il est temps que son nom apparaisse en un peu plus grand. Lui qui a connu des grandes salles – les premières parties de Charlie Mc Coy -  les festivals, les MJC et les bars enfumés, découvert cette année l’écoute des publics de librairie et de médiathèque, repartira de zéro, connaîtra l’appréhension du jugement des autres, ne s’en satisfera pas mais, paradoxalement, gagnera en confiance. Et s’appuiera sur des préceptes qu’il n’a jamais laissés en sommeil : qu’un musicien ne doit pas comprendre qu’il ne sait pas jouer d’un instrument quand on lui dit que tel type d’interprétation n’est pas pour lui. Ou que la musique est principalement dans l’intention, davantage que dans la technique. La technique, le génie, la sale manie, voilà qui ferait parler plus d’une soirée, à Aurillac. Là où il ira faire la pompe cet été et se régaler d’un genre qu’il connaît peu pendant que d’autres tiendront les parties solo. Gageons que d’ici là, des choses auront changé, encore. Et pas seulement sous l’effet d’un sourire : sans jeu de mots, j’irai jusqu’à dire qu’on ne rigole plus. Comme quand Luther Allison, en pleine masterclass, demande au jeune Gérard de descendre des gradins et de montrer ce qu’il sait faire. L.F.Céline traitait du style contre les idées ? Chez Védèche, c’est dans le steel qu’il y a de l’idée. LC

* le titre de sa rubrique dans « Blues Magazine »

12:03 Publié dans Blog | Lien permanent

28/12/2011

Portraits de mémoire (suite)

Image 2.pngCertains ici le savent, j'écris depuis 2003 des portraits des personnes qui m'entourent ou que je rencontre. Des portraits du type (revendiqué) de ceux de "Libération", en dernière page. Avec la même distance narrative d'un reporter venu rencontrer une personne qui, seul changement, n'est pas une personnalité publique (en tout cas, pas pour l'instant!). A force, au vu de ma graphomanie, j'ai une somme d'une quarantaine de portraits, en 5 colonnes format A4 marges réduites caractères 10. Des que j'ai montrés, des que j'ai gardés pour moi. Ces portaits ne sont jamais complaisants, ils sont intimes, psychologiques et s'ils ont toujours plu à ceux à qui je les ai offerts, ils sont quand même une trace de ce que ces personnes sont vraiment. Je comprends qu'elles ne soient pas disposées, dès lors, à ce que ça devienne public. J'avais il y a quelque temps, créé un blog pour les réunir, mais à la demande de deux, puis trois d'entre elles, j'ai dû retirer l'ensemble puisque les séparer ne faisait pas sens. Il reste que, avançant, je me demande si je ne vais pas, genre à la fin de ma vie, les relier entre eux par l'édition. Ce serait la meilleure de mes autobiographies, à n'en pas douter. J'en connais d'avance qui tremblent, mais il n'y a rien de grave: je ne suis pas disposé à mourir tout de suite, et il m'en reste tellement à écrire, de ces portraits. Quand ils seront édités par centaines, comme dans les albums de "Libé", l'intimité se délitera dans le pointillisme. Et la mémoire sera.

19:42 Publié dans Blog | Lien permanent

27/12/2011

Olga Alexandrovna Kreit & sa fille.

Pas d’Internet à Saint-André sur Vieux-Jonc, juste une grande table, des manuels d’histoire et de géographie de 1961, deux cartes de l’Ukraine et deux personnes face-à-face, qui rendent crédibles une histoire, un parcours (à pied, en calèche, en bateau, en train) qui épousent les soubresauts de l’histoire, « Aurélia Kreit » a vraiment commencé et c’est excitant. De partager les taches de recherche et de narration est également une chance inouïe et quand j’en dirai plus sur la personne qui a accepté de travailler dans l’ombre pour moi (pas d’interprétation, elle co-signera le livre !), vous comprendrez à quel point je peux être confiant. Même si tout reste à faire, si des dimensions se sont rajoutées au récit, tout concorde pour que dans quelques années – il faut réapprendre à être patient – le roman que vous tiendrez dans les mains soit majeur. On y travaille. Même sans Internet.

17:57 Publié dans Blog | Lien permanent

25/12/2011

Destination*.

Je me suis perdue en chemin, mais je n’ai aucun regret, je laisserai tout derrière moi. J’ai demandé à Dieu plus que ce que j’en pouvais espérer, qu’il me laisse rire de moi, chercher la paix… J’ai changé d’avis, souvent, et maintenant je comprends. Je le sais, c’est toujours comme ça : j’aurais peut-être dû te le dire, déjà, même si je pars, tu seras dans mes pensées. A chaque fois que je prends une autre destination, c’est un mauvais choix que je fais ; à chaque autre chemin, j’ai peur de ce que j’engage. Je sais que tu en veux davantage, mais je ne peux créer ce lien, pour une nuit ou pour une vie. C’est trop me demander, trop intense, trop vite : je disparaîtrai avant l’orage, avant même que j’en voie arriver les sombres nuages. Tous les contes de fées ne se terminent pas bien. Et quand bien même, je ne serais déjà plus là.

*variation autour de la chanson évoquée ici

22:25 Publié dans Blog | Lien permanent

24/12/2011

Schtroumpf grognon.

J'essaie de m'expliquer pourquoi je n'aime pas Noël mais j'ai à la fois peur de comprendre: cette impression d'être en attente d'un événement qui n'en est pas un, cette certitude que l'après arrivera plus vite qu'on l'aurait espéré, avec son cortège de dettes et de déceptions, voilà qui est quasi-proustien. Il faudrait en fait que Noël n'arrive pas pour qu'on en vienne à l'apprécier. Sans doute aussi, avec la mythologie des Noëls d'antan, se dit-on qu'on en est à chaque fois plus loin... Que les décors changent quand les sapins sont à chaque fois les mêmes. On les connaît, ces paradoxes: il faudrait ne jamais rien attendre de rien, mais ça n'aurait pas de sens. Bon, la prochaine fois, je vous parlerai de ces résolutions de nouvel an qu'on ne tient jamais. D'ici là, passez un bon Noël?

15:55 Publié dans Blog | Lien permanent

23/12/2011

My own private guitar-hero

GV.jpgIl va falloir que je me penche un peu plus sur ce qui fait qu'on bascule dans l'émotion. Remarque, ça fait une bonne trentaine d'années que je dis ça, peut-être... Il se trouve que ces derniers jours, après que Gérard Védèche m'a fait découvrir cette superbe chanson de Guillo à laquelle il a participé, je replonge avec une voix superbe, que j'ai ignorée trop longtemps pour de mauvaises raisons. Il se trouve que le compositeur, l'arrangeur et le musicien, derrière, c'est le même Gérard Védèche, dont je reconnaîtrais désormais entre mille le lapsteel, fût-ce au milieu d'un embouteillage à Mexico... J'ai quelques questions à lui poser pour le faire entrer, très vite, dans mes "portraits de mémoire", par pur intérêt: un tel talent doublé d'une telle amitié, plus celle qu'il a nouée avec Eric Hostettler depuis vingt-cinq ans, ça vous rend fier d'être celui qui le connaît.

La chanson, c'est "Destination", la voix, c'est Annabel (tous droits réservés) Je la poste parce que lui-même trouve que ce projet n'a pas été suffisamment défendu. Pour de mauvaises raisons aussi. Et parce que je trouve ça sublime.


podcast

18:46 Publié dans Blog | Lien permanent

22/12/2011

(Trop) pas pressés.

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17:37 Publié dans Blog | Lien permanent

21/12/2011

Mémoires pointilleuses.

391159_1707666188804_1752541804_837423_540400004_n.jpg21 décembre 1968: «la bataille du verre», première offensive boursière moderne

21 décembre 1969 : naissance de Julie Delpy, actrice, réalisatrice, chanteuse française

21 Décembre 1970 : Journal de Paris (ORTF) Naissance de la S.P.A Spirou

21 décembre 1971 : Matthieu Chédid naît à Boulogne-Billancourt le 21 décembre 1971, un peu plus d’un an avant la sortie de Balbutiements, premier album de son père Louis Chédid.

21 décembre 1972 : Signé à Berlin-Est, le "traité fondamental" entre la République fédérale d'Allemagne (RFA) et la République démocratique allemande (RDA) marque une étape fondamentale dans l'histoire des relations entre les deux pays voisins et dans l'évolution de l'Ostpolitik.

21 décembre 1973 : sortie mondiale de « To live and let die », de Guy Hamilton, musique de Paul McCartney

21 décembre 1974 :  1ère diffusion du 1er épisode des « Brigades du tigre », intitulé « ce siècle avait sept ans » et réalisé par Victor Vicas,

21 décembre 1975 : 10 ministres de l’OPEP sont pris en otages à Vienne par un commando du groupe « Bras de la Révolution arabe ».

21 décembre 1976 : signature à Paris de l’accord portant sur la création du Fonds de Solidarité Africain

21 décembre 1977 : la conférence du Vénézuela fixe le prix du baril de pétrole à 12,70 dollars

21 décembre 1978 : le quotidien La Libre Belgique retrace le processus préparatoire à la demande d'adhésion de l'Espagne aux Communautés européennes et dresse un portrait de la situation économique espagnole.

21 décembre 1979 : reconnaissance par la Suisse des études et des diplômes relatifs à l’enseignement supérieur dans les Etats de la région Europe

21 décembre 1980 : une bombe explose dans une caravelle en plein vol en Colombie : 68 morts.

21 décembre 1981 : Jean Colin démissionne de la mairie de Longjumeau après 3 mandats.

21 décembre 1982 :  Naissance de Erica Hayden, journaliste, qui animera « Erica America » sur Z1000, radio new-yorkaise

21 décembre 1983 :  un camion piégé lancé contre un poste du contingent français à Beyrouth fait 15 morts.

21 décembre 1984 :  nomination de Edgard Pisani comme délégué du gouvernement en Nouvelle-Calédonie.

21 décembre 1985 :  Ouverture du premier « Resto du Cœur » à Paris

21 décembre 1986 : Inauguration de la chaîne de télévision RFO.

21 décembre 1987 : « La Bamba » de Los Lobos est N°1 des ventes de singles en France

21 décembre 1988 : Retour sur Terre des deux cosmonautes soviétiques Vladimir Titov et Moussa Manarov, qui ont passé 365 jours dans l’espace.

21 décembre 1989 : En Algérie,  plusieurs dizaines de milliers de femmes voilées, accompagnées de leurs maris, convergent vers l'Assemblée populaire nationale algérienne pour dénoncer « la recrudescence des agressions contre l'Islam et les musulmans ».

21 décembre 1990 : Les dernières gaillettes sont extraites du Bassin minier du Pas-de-Calais.

21 décembre 1991 :  L’URSS décède à 69 ans et cède la place à une éphémère CEI (Communauté des Etats Indépendants).

21 décembre 1992 : « Time Magazine » titre « Restore Hope » pour justifier l’intervention américaine en Somalie.

21 décembre 1993 : Décès de Guy Des Cars, surnommé Guy des Gares par la critique pour la teneur de ses romans, dont les Jésuites ont justifié ses six renvois de scolarité par cette sentence : « Brillant esprit, mauvais élève ».

21 décembre 1994 : Réveil du volcan Popocatepetl à Mexico, en sommeil depuis 47 ans.

21 décembre 1995 : La ville de Bethléem passe sous contrôle palestinien.

21 décembre 1996 : Sapho chante pour les sans-papiers au Théâtre des Amandiers, à Nanterre.

21 décembre 1997 : Abdelhaziz Jilhjal, 22 ans, dit « Azouz », est tué de 108 coups de couteau à Lunel, dans l’Hérault. Ses meurtriers supposés et jugés comme tels, Abdelkader Azzimani et Abderrahim El-Jabri, seront innocentés… 14 ans plus tard !

21 décembre 1998 : Parution de la loi relative à la sécurité des matches de football en Belgique, 13 ans après le drame du Heysel.

21 décembre 1999 : début du dernier cycle qui, dans le calendrier Maya, mènera, le 21.12.12, non pas à la fin du monde, mais à la fin du grand cycle 13-baktuns (13 baktuns = 13 cycles de 144 000 jours: 1 872 000 jours soit plus de 5125 ans)

21 décembre 2000 : Jean-Christophe Mitterrand, surnommé « Papamadit », est écroué pour trafic d’armes vers l’Angola.

21 décembre 2001 : L'aviation américaine, bombarde un convoi, dans la province de Paktia, en Afghanistan, et tue 65 personnes dont des femmes et des enfants.

21 décembre 2002 : décès de Patrick Bourrat, journaliste, heurté par un char Abrams, alors qu’il mène un reportage sur l’armée américaine au Koweit.

21 décembre 2003 : Inauguration de la ligne A du Tramway de Bordeaux.

21 décembre 2004 : les otages et journalistes français Christian Chesnot et Georges Malbrunot rentrent en France après cent vingt-quatre jours de détention.

21 décembre 2005 : La Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH) a porté plainte dans l'affaire des vols secrets de la CIA en Europe

21 décembre 2006 : Gaston Tong Sang est élu président de la Polynésie française.

21 décembre 2007 : L'espace Schengen accueille neuf nouveaux États membres (Estonie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie, Slovénie et Malte)

21 décembre 2008 : La secrétaire d'État à la politique de la Ville, Fadela Amara, estime que Rama Yade avait « tort » de refuser de se présenter aux élections européennes : « je pense qu'elle a tort parce qu'on n'a pas gagné encore la bataille de la diversité [...] je crois que les gens comme moi [...] on a encore besoin de faire la démonstration, de faire nos preuves et donc je pense qu'elle a eu tort, elle aurait dû y aller [...] au Parti socialiste, on ne m'a jamais laissé la chance de pouvoir me présenter sur mon nom, sur ma tête et sur mes compétences ».

21 décembre 2009 : concert de Marcus Miller à la Salle Pleyel, Paris.

21 décembre 2010 : L'éclipse partielle de Lune est visible sur l'est de l'Asie, l' Australie, le nord-ouest de l'Europe et de l'Afrique, et sur le continent américain. ...

21 décembre 2011 : 1ère diffusion d’un morceau de « Trop Pas ! » sur Radio Canut.

17:03 Publié dans Blog | Lien permanent