04/01/2012
Jamais deux sans deux.
Dimanche, au crépuscule de la journée, l'heure à laquelle Dominique Wolton dit que l'homme occidental a besoin de son portable comme substitut d'affection, j'irai me produire chez les poètes dont j'ai déjà parlé ici. J'ai accepté l'invitation de Frédérick Houdaer comme Bardamu suit le défilé pour défier Arthur Ganatte. Je ne sais pas encore ce que je vais y lire, si je vais risquer ma poésie métrée à l'inspiration des gens du lieu. Si je vais y glisser quelques Confidences, les poèmes en prose que j'ai écrits pour Jean Frémiot ou des extraits de mes romans dont la fonction l'est suffisamment, poétique. Si Pedro m'accompagnera à la guitare flamenca pour que j'y lise mes poèmes d'Espagne. L'indécision, c'est comme la confiance, sauf qu'on attend toujours que l'autre fasse le premier pas. Bon, la semaine d'après, je serai plus à l'aise, à Rillieux, avec mes deux gardes du coeur.
12:38 Publié dans Blog | Lien permanent
Les commentaires sont fermés.