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21/02/2021

314.

Cette phrase entendue dans le métro et jamais oubliée : "Dis-moi c'est qui si tu sais c'est qui".

05:15 Publié dans Blog | Lien permanent

20/02/2021

315.

Je rêvais d'écrire un roman contenant les mots Arkhangelsk et encadrement. J'y suis presque.

05:15 Publié dans Blog | Lien permanent

19/02/2021

316.

Cette amie chère qui me dit hier vouloir racheter la Brasserie Georges, à Lyon, uniquement pour y afficher, en grand, les pages que je lui consacre dans mon roman russe.

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18/02/2021

317.

Toi à la danse, moi à l’édifice, tu m’accompagnes déjà, comme une contrainte libératrice ; car si j’ai enfin le courage et l’envie d’ouvrir cette brèche que je sens nécessaire à mon bonheur, c’est avec toi que j’aimerais l’explorer pas à pas, comme un voyage intérieur. Vers la lumière.

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17/02/2021

318.

Je me souviens de Harry Bloch.

09:02 Publié dans Blog | Lien permanent

16/02/2021

319.

Un message de mon éditeur, hier.
A propos de "Aurelia Kreit" de Laurent Cachard, une lecture enthousiaste de rose_lit_aja sur Instagram :
 
ak frontignan.jpg"Digne des plus grandes sagas familiales, on découvre avec bonheur ces personnages qui n’ont commis qu’un seul crime : être Juifs dans une Ukraine en proie à la misère... Ils n’ont qu’une solution, fuir avant d’être massacrés comme tant d’autres avant eux.
Je suis fascinée par ce livre, par la documentation énorme dont Laurent Cachard s’est servi pour nous permettre d’être aux côtés de ces deux familles en fuite. Que de découvertes !
Je découvre un pan de l’histoire, celle de l’Ukraine, que je ne connaissais pas. Une seule envie : découvrir ce pays et ces artistes (peintres, écrivains...)...
Et puis cette immense tristesse, une fois encore, à propos du sort des Juifs accusés par des plus pauvres qu’eux d’être à l’origine de tous leurs maux... accusés jusqu’à la torture et la mort et toujours voués à l’exil.
On suit deux familles, qui, à chaque installation, quand tout semble aller bien, sont obligées de repartir pour échapper au destin que d’autres veulent pour eux : la mort.
On découvre les balbutiements de la psychanalyse et des femmes admirables et inoubliables.
De la grande littérature, facile à lire cependant. J’ai retrouvé ce bonheur oublié de lire avec un dictionnaire pour vérifier certains termes et avec Internet pour visualiser des lieux, des personnages...
Personne n’oubliera Aurelia, ni Olga, ni Anton. Et tout le monde aura, souvent, les larmes aux yeux en découvrant ce magistral roman.
Un immense coup de cœur !"

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15/02/2021

320.

confidence.jpg

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14/02/2021

321.

Se dire que c'est la première personne dont on a fait le portrait, à 17 ans.

05:15 Publié dans Blog | Lien permanent