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30/08/2010

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245.jpgOlivier Lhostis, de la librairie "l'Esperluette", à Chartres, vient de me confirmer l'invitation. Jean Frémiot est invité à exposer là-bas et lui verrait d'un très bon oeil que je vienne parler de notre collaboration, le 2 octobre. Surtout quand un roman qui sera à peine sorti des presses se sert de son enfance putative comme objet littéraire. C'est donc, pour moi, la première fois que je serai amené à parler de "la partie de cache-cache". Chouette.

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28/08/2010

Mise en place

pile-de-livres.jpgJ'ai parcouru discrètement quelques librairies, en ces jours de rentrée littéraire qui prend des allures de plus en plus monstrueuses, au fil des ans. Je n'arrive même pas à envier ces auteurs exposés en première ligne, les piles d'Amélie Nothomb laissées à même le sol parce qu'il n'est sans doute pas utile de chercher à les ranger. Je parle d'Amélie Nothomb parce que je n'ai rien contre elle et comme ça, c'est plus facile... J'ai aperçu, en bonne place, les livres de Claudie Gallay et de Delphine Bertholon, dont je parlerai bientôt, j'ai souri. J'aurais été chez moi, j'aurais fait un peu de place sur l'étagère et à la libraire qui serait venue, affolée, j'aurais dit: "Ne vous inquiétez pas, c'est juste par précaution. "La partie de cache-cache" n'arrive qu'à la fin du mois."

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27/08/2010

Le Goût des autres

Image 1.pngJ'emprunte l’expression autant au couple Bacri/Jaoui qu’à Kent qui en avait fait un article de son journal suffisamment marquant pour que je m’y reconnaisse. Kent, je me souviens encore, dont « les Inrockuptibles » écrivaient au début des 90’s qu’il était « le chanteur à rouflaquettes préféré de Thierry Roland et Jean-Michel Larqué » ; que « Libération » alignait gratuitement en attaque d’un article sur…Thomas Fersen : « Thomas Fersen écrit les chansons que Kent a toujours rêvé d’écrire »… Mais je ne veux parler ici ni de Kent, ni de Castella. D’ici quelques semaines, maintenant, mon 2ème roman édité aura pris corps et il est exigeant, dans la lecture comme il l’a été dans l’écriture. La ligne que je me suis fixée – ou qui s’est fixée d’elle-même, soyons juste – c’est celle d’une écriture resserrée, qui va au nerf. Quand 700 romans vont, pas tous avec le même sort, occuper les étals de plus en plus restreints des librairies, il convient justement de ne pas en rajouter. Je vais donc itérer d’une unité ma section « littérature générale », la grande, la sérieuse, celle avec laquelle on ne transige pas. J’aurai gagné, dans cette formidable année « Lettres Frontière », des galons d’écrivain, tout en désacralisant, je crois, cette fonction qui a la particularité de n’en être pas une. Je m’accorde donc le droit d’une mise au point préalable, du genre « une bonne fois pour toutes et on n’en parle plus après » : elle concerne un musicien que l’on traite avec condescendance quand il vient, en deux années de tourbillon, de composer, seul, treize chansons d’un album auto-produit, d’en jouer toutes les partitions musicales ; qui a, dans le même temps, composé les quatorze chansons de la comédie musicale dont je vous parle avec enthousiasme sans pouvoir rien faire d’autre, pour l’instant, que vous dire : vous verrez. Mais la chanson a mauvaise presse et le musicien en question a le tort, sans doute, comme Kent en son temps, d’avoir renié le rock français des 70’s, aux deux guitares saturées, celles dont l’entrée en première piste de chacun des morceaux veut forcer l’auditeur à croire qu’il y a quelque chose de neuf au royaume de ce qui a été fait mille fois. Un livre de plus, un disque de plus…

Je parle de quelqu’un qui n’a aucun besoin d’être défendu, seulement écouté. Réellement. Immodestement (parce que j’en ai écrit le texte), je tiens « Au-dessus des eaux et des plaines » pour une des plus belles chansons que j’aie jamais entendues, ni plus ni moins. Que peu de personnes la connaissent importe peu. Mais qu’on la juge sans l’avoir écoutée ne me plaît pas, point. Comme je n’aime pas cette propension à hiérarchiser ce qu’on écoute ou ce qu’on lit en fonction de ce qu’on a composé ou écrit : les espaces virtuels comme « My space » sont éloquents dans ce domaine. Dans l’autosatisfaction, l’autopromotion. Myspace, mon espace, là où je peux parler de moi à la 3ème personne sans que l’autre me reprenne, puisqu’il fait la même chose.

Voilà. Petit coup de gueule du matin. Il faut savoir remettre les pendules à leur place, comme disait le grand rocker national. Ça permet d’avancer. Et là, je n’avance pas, je file. Je ne me connais pas de limites.

Allez, prenez huit minutes,  vingt et une pistes et une guitare saturée!  Mais pas que.

podcast

 

 

 

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26/08/2010

It just pinged in Volubilis!

On m'a tellement dit qu'il fallait voir Volubilis au lever ou au coucher du soleil que je l'ai évidemment fait. Bon, la carte postale ramenée n'est pas conventionnelle, j'en ai bien peur.


It just pinged in Volubilis, le 1er jeu vidéo 100% naturel!
envoyé par cachardl. - Les dernières bandes annonces en ligne.

 

 

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25/08/2010

Lancement!

Voilà la première bande-annonce de "Trop pas!" et du site (encore en construction) qui va avec. Une façon de vous imprégner, d'ores et déjà, de l'esprit de cette comédie qui sollicite quand même, puisque j'en suis aux corrections du livret, Paul Nizan, Federico Garcia Lorca, Choderlos de Laclos, Alfred de Musset, William Shakespeare, Paul Valéry (ah, "où le vent vagabond se repose"!...) et bien d'autres. Rien que ça : pour les apprécier comme pour s'en défaire, avec toute la distance critique de l'adolescence. Mais vous verrez bien! En attendant, un aperçu :

"Trop pas!" - Bande annonce 1 from cachard.l on Vimeo.

Et le site approprié

 

 

16:31 | Lien permanent

24/08/2010

Emilie, Marjorie...

IMG_0636.jpgJ'ai toujours aimé le mot anglais "collapse", ne me demandez surtout pas pourquoi. En attendant, à cet instant de ma vie, je me retrouve avec deux filles que je n'ai jamais eues, une petite grignette évanescente et maladive de 11 ans et un adolescente un peu effrontée de 15. Elles sont toutes les deux les héroïnes des deux projets que je mène de front, l'un qui se termine et qui va bientôt voir le jour, depuis l'aval reçu hier par l'éditeur (enfin!), l'autre qui prendra encore du temps et de l'énergie à finaliser, mais qui est en très très bonne voie. Les connexions Internet restreintes de là où je me trouve ne me permettent pas de mettre en ligne le premier trailer de notre pépite, pas avant demain. Sachez juste que je me sens, je l'ai déjà dit, dans la peau de celui qui aurait découvert, dans le même temps, la Bardot jeune et la petite Paradis. En une seule interprète. Aux anges, donc.

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23/08/2010

Esquisse.

1722843284.pngNous travaillons d'arrache-pied, Eric Hostettler et moi, à la phase finale de "Trop pas!", notre comédie musicale lycéenne. Nous avons déjà une ébauche du site qui abritera, dans les semaines à venir, quelques chansons, des extraits du livret et les vidéos que je suis en train de tourner et de monter. C'est un projet très excitant, dont nous connaissons l'impact potentiel depuis près d'un an; il reste(ra) à convaincre les sceptiques, pour qui, je les comprends, le genre renvoie aux monstruosités largement répandues ces dernières années. Je leur souhaite le même parcours que moi sur la question: qu'ils sachent que je l'ai été peut-être plus qu'eux, encore, au tout début du projet.

Pour "cache-cache", enfin, c'est en très bonne voie...

 

 

 

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22/08/2010

Reprise!

J'avais annoncé septembre, mais je dois dire que je suis un peu pressé d'en découdre! Avec la sortie du roman de la confirmation ou de la maturité (choisissez le cliché que vous préférez), avec la production de cet Opéra lycéen dont je vais pouvoir, très bientôt, vous confier les premières images, les premières chansons et le lien vers le site consacré. En attendant, je me prépare à une session cinéma demain, quand mes figurants auront cessé leur interminable grève du sommeil. J'ai beaucoup de choses à partager, dont des images inédites de Volubilis, mais mon ordinateur fixe ayant eu la mauvaise idée de m'abandonner, quelques contingences techniques m'obligent à vous faire patienter...

Merci à ceux qui sont passés cet été et qui ne me tiennent pas rigueur de mon inactivité (toute relative, "le dîner", roman de transition, est quasiment terminé...). A bientôt, dès demain, pour les premiers rushes.

19:20 Publié dans Blog | Lien permanent