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10/10/2012

L'Elan béarnais.

C’est donc vendredi que nous partons dans le Sud-Ouest, avec Nicolas Vitas dans les bagages. Un road-movie comme on aspire tous à en vivre, quels que soient le temps passé et le kilométrage démentiel, pour trois jours. Indépendamment de la curiosité que constitue ma rencontre avec Larrouquis, je profite, depuis quatre ans maintenant, de la chance que j’ai de pouvoir aller rencontrer des lecteurs, des gens curieux de ma démarche, de mon travail. Je jubile à l’idée de leur proposer un pan moins connu de ce travail-là, la branche musicale de mon hydre à deux – et maintenant trois – têtes. A l’image de ce que Emile Parchemin, à l’époque berruyère, avait créé avec ART CONvivial SOciety. Depuis l’enregistrement de « Trop Pas ! », la section musicale a franchi un pallier dans l’intention, la professionnalisation, de la démarche à défaut des revenus : dans les répétitions, auxquelles j’adore assister, rien n’est accepté qui ne dise quelque chose. Cette exigence, que je revendique dans l’écriture, je la retrouve dans ce qu’ils font et qu’ils vont présenter à mes côtés, vendredi, puis samedi, puis dimanche, au Salon. L’Art est une des rares possibilités données à l’homme de s’extraire de son état : je ne désespère pas que les cercles se rapprochent (St Etienne, Villeurbanne bientôt) et qu’un jour, on puisse contourner l’adage - qu’on croirait écrit pour Lyon! – du prophète, du pays, blah, blah, blah.

17:43 Publié dans Blog | Lien permanent

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