11/10/2012
Epilogue.
Et puis renaître, dans un élan... Les ombres dessinées par la roche ne portent plus, déjà, sur le promeneur en rédemption. Réapproprié à lui-même. Qui distingue, au loin, les abris de sa lucidité. Délestée des illusions fracassées, des oripeaux du temps détruit. Dans l'auberge du port, les mêmes figures qu'il y a dix ans, les mêmes crêpes, les mêmes queues de lotte, les mêmes légendes, sans âge. Ouessant est plus que la fin de la terre, à elle seule: elle est d'un homme entier le recommencement.
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