29/11/2010
De la critique.
C'est une correspondance privée que je traduis ici, mais je ne peux garder pour moi ce que mon "vieux" (il me pardonnera l'usage) professeur d'université m'a envoyé après qu'il a lu "la partie de cache-cache". Tout y est, nonobstant le plaisir qu'il me fait à soigner mon égo : les réserves qu'on m'a déjà formulées sur le décalage supposé entre l'enfance et le discours qu'elle tient dans le roman; l'abord plus intelligible que sensible, même s'il ne m'avait pas sauté aux yeux, à moi. Je les traduis ici, ces beaux mots là, qui rappellent qu'autrefois on s'écrivait.
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