05/08/2015
Les paradis perdus.
Au coeur de tous mes étés, il y a ce pèlerinage que je fais pour m'incliner devant la statue de D'Artagnan (on a les idoles qu'on se choisit!) et la guitare de Paco de Lucia. Ce soir, connexion, à Marciac, avec l'au-delà pour m'assurer que l'un n'est pas plus mort que l'autre. Je suis confiant. Rendez-vous demain pour une note qui devrait m'assurer le job (à vie) de chroniqueur du festival: je joue à domicile.
17:11 Publié dans Blog | Lien permanent
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