03/05/2012
Vlan!
Les maisons d’édition, aujourd’hui, se servent du courriel pour dire le plus vite possible aux impétrants qui sollicitent une publication de ne rien attendre d’elles. Je comprends, c’est écologique, davantage que cette tonne de papier noirci pour rien, et ces lettres de refus lasses et obligées. Mais qu’elles le fassent aussi rapidement, à peine – quelques heures - l’enveloppe reçue, me paraît d’une violence insigne, et difficile à vivre pour un auteur. Je sais que la déception est l’essence de l’écrivain, mais quand même.
17:38 Publié dans Blog | Lien permanent
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