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21/09/2011

De l'Optimisme ou de la fragilité des choses.

hgly8xzh.gifEn fait, figurez-vous, « le Poignet d’Alain Larrouquis » ne sort prochainement que parce que quelqu’un  a décidé pour moi quelle serait ma priorité d’écriture en 2011. A ce moment-là de ma vie, je ne savais pas à quel ouvrage j’allais consacrer le temps d’écriture nécessaire à son édition : au « Dîner », mon étude psychologique et biographique des interactions au cours d’un repas presque imparfait ? A Camille, dont ma « Valse Claudel » est programmée – par ma seule volonté – en 2012 ? A Aurelia, dont j’ai repoussé la préparation au premier trimestre de la prochaine année, accaparé que je suis par la sortie du PAL et de « Trop Pas ! » ? Je n’en savais donc rien, quand j’ai édité sur ce blog la première page, retravaillée, d’un roman qui m’a servi, principalement, à envisager autrement l’écriture de « la partie de cache-cache ». C’est comme ça, malgré nous, que les choses s’enchaînent : en lisant un extrait de mon Larrouquis  à ceux qui ont bravé la neige à Cluses, le 26 novembre dernier, je me condamnais à le travailler en priorité, dans l’espoir que ceux qui m’ont entendu là-bas l’attendent. Y pensent-ils encore, je ne sais pas : on est si vite oublié, dans ce bas-monde. En tout cas, il est là, maintenant, même s’il ne reste plus que lui et je me surprends (enfin) à l’attendre autant que les autres. Ceux qui vont venir. Par contre, je vais prendre garde, cette fois-ci, de ne rien lire de ce que je pourrais réserver. Qu’au bout du compte, je puisse ne m’en prendre qu’à moi-même, si plus personne n’espère plus rien de moi.

19:14 Publié dans Blog | Lien permanent

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