20/09/2011
Mon Marc Lévy.
- (...) - Tu sais, la vie t’impose parfois des épreuves que nous saurons surmonter, Jennifer.
- - Oui, Michael, mais tu vois, souvent, je regarde en arrière et je doute d’avoir bien fait…
L’interrompant, Michael prit Jennifer par la taille et l’entraîna dans un long baiser vertigineux dont il avait le secret. Prise dans le tourbillon de sa passion pour lui, Jennifer pensa un moment tout quitter, cette vie dont elle ne voulait plus, la tranquille indolence dans laquelle il lui paraissait sombrer.
- - Oh, Michael, tu es fou !
- - De toi, oui ! Fou d’amour, décidément.
Dehors, la nuit dessinait des arabesques sur les murs de la demeure où ils s’étaient réfugiés. L’aurait-elle seulement rêvé, Jennifer, de vivre de nouveau des instants d’une telle intensité ? Il déposait sur sa peau finement dorée par l’été les marques de l’abandon dans lequel, elle le savait, elle ne manquerait pas de choir. (...)
Non, je n’y arrive pas. J’ai envie de les éclater avec une pelle de jardin neuve de chez Jardiland, je n’y peux rien. Alors, oui, il paraî que mes fins d’histoire sont déplaisantes. Quoique, peut-être, qui sait, le Larrouquis… Je n’y peux rien. C’est plus fort que moi et c’est surtout plus fort que ça.
23:35 Publié dans Blog | Lien permanent
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