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14/02/2011

Rouletabille

leroux.gifJ'ai reçu un renfort précieux dans le cadre de mon projet "Aurélia Kreit". Mon amie Véronique, historienne de l'Art et érudite, s'est engagée à travailler avec moi pour que le cadre historique - à travers l'Europe, de l'Ukraine en 1905 jusqu'à Marseille en 1917 - du roman soit incontestable. Je l'ai même chargée de transformer tout document visuel trouvé en texte descriptif, que j'intégrerai dans le récit. Je me charge du monologue intérieur de la jeune fille, dont le lecteur suivra les douze années d'exil et d'aventures. Nous avons décidé de réunions de travail et d'un cadre pré-déterminé à l'été, avant que l'écriture commence. Je prendrai d'ici là les risques que ma vie me commande de prendre pour que je puisse mener cette fresque à bien. C'est enthousiasmant. Vertigineux, mais enthousiasmant. Evidemment, le roman, terminé, sera signé de nos deux noms : j'ai plus d'aspiration à devenir nègre moi même - et à travailler comme tel sur mon projet, n'en déplaise au pestilentiel M.Guerlain - qu'à en embaucher un. 

Pour commencer, et contre toute attente, je me détache des travaux d'historiens, fastidieux, pour retrouver toute la période qui m'intéresse dans "l'Agonie de la Russie Blanche', de Gaston Leroux. Quand la littérature autrefois dite "populaire" (si la littérature populaire d'aujourd'hui pouvait avoir cette qualité d'écriture!) sert les plus grands desseins... Chronique à suivre très bientôt.

14:47 Publié dans Blog | Lien permanent

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