Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

06/03/2013

L'invité mystère.

Sans doute est-ce le fait d’avoir vu mes camarades de jeu travailler autant ces derniers jours tandis que je savourais tranquillement le poids de mes mots, déjà écrits ? Cette nuit, j’ai rêvé au titre, savoureux, et à l’action d’une pièce de théâtre que j’écrirais pour un comédien lyonnais, que je connais de nom et de vue, sans qu’il se rappelle qui je suis, certainement, et surtout sans qu’il s’en doute. Ni même qu’il soit sûr de l’accepter, tant cette pièce, sombre et à effet-miroir, est loin de ce qu’il écrit et interprète lui. Avec talent, en plus. Rien de plus sinon que depuis ce matin, entre deux effarants commentaires FB et l’écoute, jusque là dubitative, du dernier album de Kent, j’écris cette pièce qui, disais-je, n’est pas compliquée à écrire puisque je l’ai vue cette nuit !  Peut-être ne vaut-elle rien, en tout cas, je ne le lâche pas et il se peut que je l’aie terminée demain, si je décide que les siestes faites pendant que mes camarades travaillaient tiennent lieu de nuit. 

18:05 Publié dans Blog | Lien permanent

05/03/2013

Dilemme.

Puisqu’il y a un temps pour tout, que faire de celui du rien ?

15:59 Publié dans Blog | Lien permanent

04/03/2013

Etat des lieux.

Le processus de création est lui-même une source infinie d’inspiration. Voir deux musiciens enfermés dans un studio à chercher la juste tonalité, la bonne structure d’un morceau, se détacher de l’émotion des paroles pour mieux la restituer après, voilà qui n’est pas donné à tout le monde, je le sais. Quand en plus, il s’agit de deux amis de trente ans, sans la dimension tendue des H1 et H2 de « Pour un oui ou pour un non », le métalangage qu’est déjà la musique prend de l’ampleur. Au final, avec une échéance prévue pour la fin mai, il y aura cinq des plus belles chansons que j’aie écrites, que Eric a composées et que Gérard aura sublimées. Je sais, depuis Miossec, que ces chansons-là, - presque - personne ne les écoutera, que j’ajouterai, comme en littérature, une unité à d’autres, qui prétendent lui être supérieures. Je sais tout ça, j’ai arrêté de croire et j’ai même l’impression, ici, de ne parler qu’à moi-même, même si les passants sont nombreux. Peu importe. J’aurais aimé déménager à Sète pour y écrire mon roman russe, je ferai autrement. Mais je ne désespère pas pour autant et mes envies sont relayées : au même titre que la parution d’un extrait dans le « Bordas » a inscrit définitivement la vie perdue du Gérard de « Tébessa » dans une forme de postérité, « l’Embuscade » et ses consoeurs laisseront une trace indélébile. C’est biiiiiiiiiiien, (silence), ça.

12:36 Publié dans Blog | Lien permanent

03/03/2013

Bientôt la fin.

Le problème avec les fins de cycle, c'est que par nature, on ne peut pas savoir où nous mènera le prochain. Vers d'autres lieux, d'autres visages, d'autres activités. Sans rien en deviner à l'avance, évidemment. Iĺ m'arrive de penser que ce à quoi j'aspire aujourd'hui me paraîtra tout à fait dérisoire demain.

16:12 Publié dans Blog | Lien permanent

02/03/2013

Les grosses têtes.

M.& Mme JIRAIPAS ont quatre enfants, François, Olympia, Chantal et Frédéric.

12:26 Publié dans Blog | Lien permanent

01/03/2013

Les prétendants.

Personne ne sait vraiment après quoi il court, mais ça n’a jamais empêché personne de courir. 

16:55 Publié dans Blog | Lien permanent