01/12/2009
La rue de la Chouette.
J'attends que la poste suisse daigne me livrer "la fanée" de Thomas Sandoz et qu'on daigne me signaler que "l'ange hurleur" est arrivé en magasin pour terminer mon décalogue critique et passer à autre chose dans l'écriture. Je prends juste le temps de vous signaler ici que je suis enchanté d'avoir trouvé ce week-end un moulage (réussi) de la Chouette de Dijon, laquelle recueille dans la rue du même nom, les voeux et les souhaits les plus secrets des passants. J'aime l'irrationnel quand il est incarné dans quelque chose d'aussi inessentiel. Il n'empêche, je suis très heureux de pouvoir, de chez moi, caresser la chouette (de la main gauche) et formuler d'autres voeux aussi secrets que ceux que j'ai déjà formulés en d'autres temps.
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