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14/01/2025

Le lien refait.

s-l1600.jpgOn parle aussi de Jean-Louis Murat, dans les Noz d'émeraude.
Entre autres, ici:
"Murat, c’est celui qui a présidé à ma rencontre avec Stéphane Pétrier, qui m’a poussé, certainement, à raccrocher les wagons du Voyage. C’est aussi celui qui a lancé mon blog, à peine ouvert, quand j’ai recensé une rencontre à la fnac, en 2009, avec un papier signé Il faut sourire à Drucker qui m’a valu ses félicitations, des vues comme je n’en avais jamais eu, des flopées de réactions et une amitié essentielle, celle d’un autre Bougnat⁸. J’ai vu Murat à chacune de ses tournées, même si en 1993 (et après) je n’éprouvais pas le besoin de faire un compte-rendu de concert. Pourquoi cela m’est-il venu, sans doute parce qu’il est difficile d’expliquer l’acmé qu’on ressent quand on rencontre un artiste sur scène… J’ai donc signé deux ou trois papiers par an au sujet de Jean-Louis, sur les 14 ans pendant lesquels le Cheval et lui ont été contemporains. J’ai fini par un décalogue à sa mort, en avril 2023, pour pouvoir le laisser partir. C’est pour ça que l’analogie s’arrête, parce que les Noz sont plus jeunes, en meilleure santé et, à mon sens, interdits, eux, de mourir ou d’arrêter, ce qui reviendrait au même, pour les autres."

19:55 Publié dans Blog | Lien permanent

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