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22/12/2023

AKII KRITIKS

Capture d’écran 2023-11-18 à 14.32.47.pngC'est rare qu'un - bon -  critique s'intéresse à un roman dont la diffusion n'est pas aidée par les réseaux classiques, c'est d'autant plus réjouissant quand il y revient, quatre ans après. Merci donc à Warren Bismuth (sic) et à sa recension d'Aurelia Kreit - les jardins d'Ellington sur le site "Des livres rances" (re-sic).

C'est ICI et c'est exhaustif, chouette!

 

Et en prime, un (beau) retour de lecture d'un lecteur avéré, qui ferait presque rougir (basque):

"J'ai fini de lire le 2éme volume des "aventures" d'Aurelia Kreit. J'ai beaucoup aimé ce livre comme d'ailleurs le précédent. Je suis assez stupéfait par ton érudition sur des sujets brûlants qui prennent avec l'actualité contemporaine une dimension prophétique. La situation actuelle de l'Ukraine est une conséquence presque prévisible de ce que tu décris de cette époque. Le style est très vivant, il y a aussi du polar (les allusions à Arsène Lupin), une reconstitution historique poignante enfin tout un foisonnement qui demande parfois de revenir en arrière pour ne pas se perdre en chemin. Le terrible épisode de la Courtine sonne comme une tragédie très bien décrite et documentée dans sa montée dramatique. On pourrait dire beaucoup d'autres choses, notamment sur les figures féminines attachantes et tellement courageuses. Un grand bravo. »
Merci à J.B, qui se reconnaîtra.
 
Enfin, Louise Cavalier y revient également, quatre ans après, sur Babelio
"La personnalité hors du commun d'Aurelia Kreit se passe de superlatifs. On voudrait un jour rencontrer la vieille dame qu'elle est devenue.
Laurent Cachard l'accompagne sur le fil de sa vie où elle montre toute sa détermination à traverser la Grande Guerre et ses horreurs, debout, positive et active malgré son jeune âge.
De Mulhouse à Etretat, d'Etretat à La Courtine, on peut la suivre, dans des événements de l'histoire de France qui ont pu échapper à notre vigilance : la question juive au début du XXè siècle ; ou encore la présence d'un soviet dans la Creuse, sous l'égide d'un président charismatique, Afanasie Globa !
J'aime cette riche et belle écriture qui use parfois d'un humour un peu acide, comme on utilise un bon vinaigre pour relever un plat d'été. Un vocabulaire recherché, une histoire structurée pour laquelle on se passionne tant l'héroïne est solaire.
Les personnages secondaires sont pour la plupart attachants, même Anton dans ses moments de désarroi, est touchant. Il se trouve soudain seul face à son existence et les choix cruels auxquels il est confronté, sans le soutien du groupe, de « l'attelage » qui détermine son envie de se battre. Très humain dans son besoin d'être l'élément utile d'une organisation.
Les jumelles Varvara et Pavline, fortes chacune de l'existence de l'autre et de la chaleur du lien qui les relie, éveillent en nous la nostalgie d'un alter-ego.
Aurelia Kreit est le livre qu'il faut pour un week-end d'automne chagrin. Il est l'accompagnement parfait de la tasse de chocolat chaud. A savourer sur canapé."
 
À retrouver aussi, la critique d'Yves Izard, ICI.
 

17:06 Publié dans Blog | Lien permanent

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