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26/10/2021

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Capture d’écran 2021-10-26 à 07.14.44.pngC'est donc ce soir, pour clore la journée, que je donnerai une lecture théâtrale de mon Contrebrassensiste (ou la moustache de Pierre Nicolas), une pochade conçue comme un pari avec Bernard Lonjon, le directeur scientifique du Centenaire, qui me conduira pourtant, à 20h30, sur une belle scène d'un beau cabaret. J'ai reçu hier le déroulé technique, du "Get In" (véridique) à la scène, en passant par les balances et le repas avec les techniciens (j'imagine). Je remonte le cours de ma vie, ces moments que j'ai créés en souhaitant, le jour J, sous l'effet du trac et d'une certaine incongruité, qu'ils passent le plus vite et le mieux possible. De ma première lecture, habitée, dans la cour de la maison de Pigny, en 1999, aux cent "Je me souviens" égrenés sur l'immense scène de l'amphithéâtre de Dardilly. Il y eut les "Littérature & Musique", également, qui renaîtront début novembre. Ce soir, pour mes trois petits quarts d'heure de célébrité, je vais prendre mon temps, respirer, poser ma voix, faire rire - c'est l'objectif - et apprécier le clin d'oeil: ce que je peux avoir de commun avec Brassens, c'est d'apprécier les chemins de traverse. La question actuelle, dans sa ville, c'est : aurait-il apprécié toutes ces cérémonies? C'est très immodeste, mais je suis près à parier qu'il aurait aimé qu'on parle de son Pierre Nicolas. Peut-être même serait-il venu, peut-être même sera-t-il là.

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07:16 Publié dans Blog | Lien permanent

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