11/02/2015
Ithaque au tac.
L’hébergeur de ce blog me signale que j’ai épuisé 95% de la mémoire en stock. Que je dois choisir d’effacer des notes, ou d’ouvrir un autre site. L’idée d’être allé au bout de la mémoire me plaît, mais celle de déménager, moins. Je trie, j’efface des notes, celles du début (pas la première), je retrouve un historique vite oublié. C’est le mode, la nouvelle culture : quand on gagne un instant (chez l’autre), rien n’est acquis pour autant. Ces notes que je soustrais à ce journal d’un septennat, elles se déduisent d’elles-mêmes d’un total : j’ai écrit plus de 1500 notes mais le compteur, quand j’agis ainsi, en affiche moins, c’est logique. Mais ça ne m’empêche pas de me sentir Pénélope, à défaire en espérant le retour. L’éternel retour.
16:45 Publié dans Blog | Lien permanent
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