29/09/2014
Je me présente, je m'appelle Henri (Beyle).
Bon, « Trois-huit » n’est pas encore référencé chez l'éditeur, je m’en doutais. J’attendrai demain pour en faire l’article. Là, je médite sur l’avers et revers de la reconnaissance, et m’étonne que des personnes n’aient pas encore compris, cent soixante-douze ans après la mort de Stendhal, que l’égotisme préside à toute création d’une oeuvre et que prendre ça pour de la prétention relève d’abord de la méconnaissance de soi.
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