20/09/2014
Bardamu.
J'ai donc trouvé que cette conférence - organisée par l'Université pour tous, l'Esplanade de Divonne-les-Bains (magnifique salle de conférence, de spectacle et de projection) et Lettres-frontière, qui tient à moi depuis "Tébessa, 1956" - était une idée intéressante, mais qu'elle manquait un peu de poésie, d'un abord irrationnel du thème de la frontière commune, du jeu sur les identités, les déterminismes. Il n'était pas obligé que ce fût moi, mais je ne peux jamais résister à ces montées d'adrénaline, ces instants où l'on se demande pourquoi on a fait ça, sans se répondre, parce qu'on le sait: c'est tout ce qu'on cherche. Il n'empêche, c'est dans quelques heures, maintenant, et Arthur Ganate me regarde quitter la place Clichy, bravache. Je ferai moins le malin tout à l'heure, mais si je survis je vous en parlerai demain.
12:10 Publié dans Blog | Lien permanent
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