15/05/2014
Tamdadamdadam.
Il y a toujours, dans chaque déménagement, ce cri muet qui retentit en soi, nous exhortant à faire volte-face: il s'est passé tellement de choses, ici, tu ne peux pas les fouler au pied! Je ne foule rien, c'est acquis. Mais je pars. Pas aussi loin que je l'aurais voulu, mais je pars. Et, surtout, je ne me retourne pas.
20:53 Publié dans Blog | Lien permanent
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