14/05/2014
Lire/Ecrire.
Douloureux corollaire du travail de titan fourni sur l'écriture du roman, en plus de ce que j'ai à faire par ailleurs, je ne lis plus. Des périodes que je connais, qui ne devraient pas m'inquiéter tant il me suffira, un jour, de reprendre un livre pour que ça revienne, mais l'impression désagréable de faire partie de ceux qui se disent que ça ne sert à rien. D'autant que j'ai une mini-anthologie d'auteurs suisses de mes amis à lire, le "Malenfance" de Thomas Sandoz, "les Mensch" de Nicolas Couchepin. Ils sont là, sur mon bureau, le même qui changera de place samedi. La semaine prochaine, tiens, j'aurai écrit une des deux chroniques que je me suis promis de faire sur ces romans-là. Pas parce que c'est eux: parce que c'est moi.
18:23 Publié dans Blog | Lien permanent
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