06/05/2014
Le nez au vent.*
On sait que c'est le moment de partir quand on commence à ne plus hésiter sur le nom des rues, les directions à prendre, les correspondances de métro, et qu'on bute sur les nouveaux arrivants qui risquent leur vie, le nez en l'air, en plein croisement, pour prendre la photo du FlatIron Building. Auparavant, il y a Brooklyn, ses légendes, son histoire, à apercevoir, comme on jetterait un coup d'œil à un sujet avant de rentrer potasser, lire et écrire. Pourquoi pas rencontrer, juste après, cet auteur dont mes amies sont folles et qui ne m'a jamais bouleversé? Je crois aux rétroactions, dans le souvenir comme dans la littérature. Et puisque il suffit de passer le pont...
* Vitas.
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