25/03/2014
Caméo.
Marius Beyle fait une apparition dans « Aurélia Kreit », croisant Vladislav dans un train qui les emmène à Paris. La discussion est un peu surréaliste, tant l’homme – bon pour la potence, diraient les bonnes gens – est volubile et imbu de sa personne, mais le moment dure suffisamment longtemps pour que Vladislav se félicite qu’Aurélia ne se soit jamais trouvée en sa présence : il aurait eu vite fait d’oublier Gabrielle, le bougre, quoi qu’il ait jamais dit du bleu de ses yeux, du roux de sa chevelure. D'une nouvelle esquisse d'une théorie des émotions sur laquelle je suis retombé, aujourd'hui.
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