23/02/2014
Suranné.
J'ai de quoi tenir des lecteurs en haleine, dans ce "Aurélia Kreit", dont j'aurai terminé demain, sans doute, ou mardi, au pire, la deuxième partie, avant que mes personnages quittent Vienne pour arriver à Paris puis à Lyon, avant, surtout, que j'entame - avec une aide extérieure, humaine, déjà acquise, pécuniaire, sollicitée et espérée - le long et fastidieux travail de vérification et de relecture, sur 450 pages: j'ai utilisé l'expression, gentiment désuète, de "fétu de paille". Une occurrence dont je suis, à la lecture, extrêmement fier.
18:56 Publié dans Blog | Lien permanent
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