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09/01/2014

Démiurge et demi.

De la difficulté d’écrire une scène violente, la mort par égorgement de deux hommes qui l’ont bien mérité, certes, mais quand même. Et puis l’idée, qui m’est soufflée par un des personnages : « Patron, j’aurais bien une autre idée, un moyen d’en finir plus proprement. En plus, ça servirait le récit, j’en suis sûr : ça nous laisserait le temps, à Nicolaï et moi, de quitter l’auberge sans être inquiétés et d’aller retrouver… » Ouais, ok, ça va ! On va faire comme tu le dis, mais c’est pas la peine de tout raconter non plus, hein !

17:31 Publié dans Blog | Lien permanent

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