10/11/2013
Dans les pleins, dans les creux.
Parfois, il suffit d’une seconde pour que l’indécision, la pensée d’un meilleur ailleurs toujours possible, fasse qu’on ne prenne pas la direction qu’on voudrait avoir suivie, quelques mois plus tard, quand – au hasard d’une rencontre - on envie l’autre de l’avoir prise. Les Anglais, fatalistes, ont une expression pour ça : c’est la vie.
14:50 Publié dans Blog | Lien permanent
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