03/11/2013
Supplique.
Quitter cette ville dans laquelle on voudrait vivre, dans l’absolu, dans le calme de l’étage de la petite maison donnant sur la mer pendant qu’en-dessous, empiriquement, s’agite une autre vie accolée à la mienne, mais pas dépendante. Quitter ses quais colorés, ses bateaux qui mélangent le loisir et l’activité, la corniche et le théâtre de la mer, au fonds de scène unique au monde. Quitter tout ça et revenir là où on est né, là où, certainement, on voudra que sa vie s’achève, une fois qu’elle aura été (bien) menée. Se demander quelle est la question de la place, toujours.
18:23 Publié dans Blog | Lien permanent
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