14/01/2013
Madeleine & Daniel, épisode 3.
Ces conversations impudiques, ces voix que j’entends encore dans le journal d’hier et d’aujourd’hui (le I, le II, le III), ces noces avec la vie et l’homme de la même, David, ne méritaient pas l’exclusion comme épilogue. Ni l’IDT*. Des pilules jaunes (la fleur du soleil, ils appellent ça) et hop là !, les éléphants magiques, le chien jaune, Bzzi-Bzzi vole dans la prairie, avec le poisson voyageur, dans un ciel de printemps : Lucy in the sky with diamonds avant l’heure. Si j’avais la geste arthurienne, je ferais attention au loup et passerais un anniversaire chez les dragons avec mes compères Mimichat et Nourson, preuve évidente que la guérison est encore lointaine. Les animaux dans la fête sauvage - plutôt que les remords dans la fête servile - dans ma tête, c’est confondre la révolution d’Octobre avec le temps du ghetto de Varsovie, c’est mourir à Madrid - par l’effet d’une divine passion et ses paroles amoureuses – en restant dans la maison de Jade, faire quelques pas sur la terre pour planquer un flingue sous les roses… Allez, en scène pour l’entracte, il faut bien que ce delirium cesse ! « What is a man », qu’il nous dit, l’autre Danois : et combien de femmes pour faire un homme, est-ce qu'il y a pensé? FIN
18:19 Publié dans Blog | Lien permanent
Les commentaires sont fermés.