Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/11/2012

Mis à l'amende.

Je n’aime pas que les épées de Damoclès se rappellent à moi : je m’accommode au quotidien d’une semi-précarité que j’ai provoquée, mais que je gèrerais très bien s’il n’y avait en permanence les rapaces barbariens au-dessus de ma tête, prompts à sanctionner le moindre manquement. Mais à quelle ligne ? La mienne n’est-elle pas suffisamment exigeante comme ça pour qu’on ne me rappelle pas à chaque seconde qu’il faut entrer dans le cadre, sous peine de sanction? Mais qu’on m’embastille, bon sang, si l’on m’accorde les quelques précautions qui allaient avec les auteurs qui y ont séjourné! Mais non, l’autorité, aujourd’hui, est plus insidieuse, elle frappe là où se loge et le nerf de la guerre et la dernière des fiertés de l’homme debout. Courber l’échine ? Avant la suerte de muerte ? Je mourrai en Cyrano, plutôt.

17:42 Publié dans Blog | Lien permanent

Les commentaires sont fermés.