24/06/2012
Billet de fatigue.
On me fait la remarque, aujourd’hui, que j’ai vécu la quasi-moitié de ma vie à proximité d’une gare. Sans jamais – réellement – partir. Je non-pars, souvent, mais ne m’attarde pas. Il n’empêche, même à 8h à St Romain de Popey, la gare a quelque chose de déchirant. On est là et l’instant d’après, on n’y est plus. Drôle d’allégorie.
19:37 Publié dans Blog | Lien permanent
Les commentaires sont fermés.