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08/11/2011

Le premier café-crème, à St Germain.

Il faut croire que c'est la fatigue qui me gagne, ou une saturation de mémoire, les deux étant compatibles, si, si, je vous assure: en tout cas, dans la note d'hier, il fallait lire purgatoire plutôt que damnation, et même si la nuance est faible, l'auteur de cette classification y tient. Ce n'est pas moral parce qu'il devrait lutter contre mon envoi aux enfers mais que voulez-vous, comme d'autres, il trouve que c'est une bonne chose que j'y aille, persuadé que j'y trouverai l'inspiration. Je ne retrouve pas l'article que j'avais écrit pour le CDT sur la condition des écrivains et c'est dommage, parce qu'il y avait matière à me défendre un peu, quand même. Mais soit. Puisqu'il me faut écrire pour ne pas tomber, alors j'écrirai. J'ai un beau rendez-vous avec "mon" historienne dans un endroit insolite, je vous raconterai ça quand je l'aurai vécu. Dans le même temps, j'ai ressorti des tiroirs, après quelques nouvelles, le roman évoqué hier qui, depuis samedi, a gagné un autre titre, terriblement efficace et enthousiasmant. Que je garderai pour moi pour des raisons industrielles, vous le comprendrez aisément. Dans un monde parfait, écrivais-je récemment, j'abattrais une besogne considérable et arriverais au bout de mes projets sans ciller. Là, contingences aidant, je prends un peu de retard. Gabrielle, bouclée en 96h, m'aura un peu tuer, finalement. Mais je vais rebondir. Ou pas. Il suffirait de presque rien, comme dans la chanson. 

19:11 Publié dans Blog | Lien permanent

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