16/10/2011
La violence sans l'oubli.
Je me suis toujours demandé comment les deuils complet étaient possibles et puis, comme tout le monde, j'ai refusé d'aller plus loin, craignant, par superstition, qu'évoquer le péril le ferait forcément arriver. Une nuit d'insomnie plus tard, convoquant de proches fantômes, je n'ai pas avancé sur ma réflexion: j'en reste à croire, comme dans mon sempiternel "Conte d'été", qu'on vit finalement mieux sans moi qu'avec. Mais j'y suis quand même encore, sur mon petit rocher, jusqu'à ce que la marée m'emmène. Les anges-gardiens des uns sont les démons des autres. Pas plus de commentaires.
17:24 Publié dans Blog | Lien permanent
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