24/09/2010
Le mot et l'image mêlés
Pour des raisons de décence et de paresse, je ne ferai pas, finalement, la critique du "Hamlet" présenté aux Subsistances, qui regroupe à peu près tout ce que je déteste dans le théâtre contemporain. Il m'aura permis, indépendamment de quelques très beaux effets de lumière, de voir à l'oeuvre un comédien sympathique et formidable athlète, mais taillé pour le rôle comme moi pour tenir dix rounds face à Mike Tyson. Bref, tout cela ne serait pas si grave si ça ne s'accompagnait pas d'une prétention terrible qui amène à mettre le texte en retrait, ce qui est impardonnable. Cela étant, si vous aimez la techno et si vous avez envie de mêler Batman, Dark Vador (si! si!) et le lac des cygnes, allez-y: sauf que là, c'est Hamlet qui patauge. Moi, je vais me repasser mon Kenneth Branagh avec volupté.
Ci-joint un autre événement, moins international. Me voilà souhaitant que ces gredins de gauchistes ne paralysent pas le pays pour que je puisse aller à Chartres ce jour-là. Il ne fait pas beau vieillir.
16:52 Publié dans Blog | Lien permanent
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