05/01/2010
2010
On rouvre, alors. Evidemment, c'est plus facile de faire quelques brèves sur FB que de nourrir un blog au quotidien, mais je sais - parce que c'est statistique - que beaucoup de personnes, maintenant, passent par ici et je ne peux pas laisser plus longtemps mon épicerie culturelle à moi close. Même si les contingences de mon "deuxième métier devenu premier" (j'adore cette expression du sociologue Bernard Lahire, extraite de "la condition littéraire, la double vie des écrivains", La Découverte, 2006) ne me laissent que très peu de temps en ce moment. Evidemment aussi, je souhaite à tous la meilleure décennie possible, qu'elle soit sous le signe de l'ouverture et de la réalisation, on peut toujours rêver, c'est la période. Souhaitez-moi de terminer pour la période fixée ma "partie de cache-cache", un roman désormais autorisé par la réaction qu'ont eue les lecteurs de "Tébessa". Autorisé, mais obligé aussi: je sais que mon sujet est exigeant, qu'il est aussi moins consensuel que Tébessa. D'où l'importance d'"aller à l'os", de ne rien laisser de ce qui est superflu dans ce matériau qui date maintenant de quelques années, du moins dans sa première partie. J'écrirai sans doute dans ces colonnes le roman en train de se faire alors que je serai en train de le terminer. Parce que ces chroniques me sont essentielles, dans l'exercice d'écriture. En tout cas, mon "hautetfort" est reparti. Et je suis comme vous, j'attends "l'éclaircie", qui se fait désirer... Allez, un teaser, un autre?
Et retrouvez ici toutes les chroniques de "l'Eclaircie", parues sur ce blog
18:44 Publié dans Blog | Lien permanent
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