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25/07/2018

Ceux qui s'en vont.

Le plus dur, c'est de s'excuser auprès des arbres. Et de les remercier.

 

21:51 Publié dans Blog | Lien permanent

23/07/2018

Clara & Aurélia, dans la maison de mon enfance.

Je me suis mis tout seul en résidence d’écriture dans cette maison qui a abrité toute mon enfance et sera détruite en septembre. Pour une nouvelle ère, qui restera dans la famille, ce qui est un moindre mal. Mais il n’empêche : j’ai l’impression que derrière les tapisseries psychédéliques des années 70’s, tous ceux qui ne sont plus là me parlent et m’aident à avancer dans la finalisation – j’ose le mot – de mon grand œuvre, ce roman russe sur lequel plusieurs anges, de ceux dont parlait Laurence Tardieu à mon sujet, se sont penchés, à plus ou moins forte influence, mais à ce niveau-là, il n’y a pas de petite aide. Pour m’être trop brûlé les ailes, je n’en parlerai pas plus, mais 2019 est une échéance qu’on m’a fixée, pour plus d’une raison, dont certaines sont tellement incroyables que je n’y croirai qu’en les voyant. Je travaille dur, d’arrache-pied, une dizaine d’heures par jour et quand, comme aujourd’hui, je m’accorde une pause, c’est pour réaliser que la « Girafe » est sortie de presse il y a quelques heures et que, si je ne l’ai pas encore en ma possession, elle est d’ores et déjà disponible sur le site du Réalgar, sortira officiellement le 21 août pour les libraires qui s’intéressent encore à moi et sera disponible lors des rencontres qui s’annoncent en septembre, dont je reparlerai aussi. Pour l’occasion, puisque c’est le mode opératoire dans les grandes maisons d’édition - à l’annonce de ceux qui prennent souvent la littérature pour de la lessive et parlent de la rentrée littéraire comme d’un comice agricole – cette petite vidéo nous réunit, Franck Gervaise et moi, pour vous donner envie d’aimer Clara Ville. Qui, en bonne petite fille revêche qu’elle est restée, ne vous aimera pas non plus si vous ne l’aimez pas. Mais pour ceux qui se souviennent d’Emilie – de « la partie de cache-cache » - de Elise dans « Tébessa » ou de Gabrielle dans « Marius Beyle », sachez que c’est un personnage qui compte, déjà, pour moi, dans ma bibliographie. Qui prend tout son sens dans ces murs où je me trouve, qui me parlent et à qui je réponds par l’action du temps.

http://lerealgar-editions.fr/portfolio/girafe-lymphatique/

19:18 Publié dans Blog | Lien permanent