04/01/2016
Pour tout bagage on a sa gueule.
5’20 pour vingt années de vie. Les vingt premières, qu’il pourra quintupler, s’il s’y prend bien, mais sans moi. Sans mon émerveillement de le voir, sur ces images, fixes ou en mouvement, sourire, manger un yaourt-Mamé, un choco Prince, des Pim’s (pas de sponsoring indirect, mais Combray n’est plus ce qu’il était !) mais surtout sauter dans le vide, par deux fois, s’élever dans les airs, tenter d’apprivoiser le vent et regarder beaucoup plus loin que ce qu’on verra jamais.
17:02 Publié dans Blog | Lien permanent
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