21/12/2015
Sans vouloir te faire plaisir.
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Paco. Faut-il fêter les anniversaires d'une vie qui s'est arrêtée, ou, au contraire, considère-t-on que la postérité commence quand elle s'est arrêtée, je ne sais pas. Je pense que lui s'en foutrait, d'ailleurs. Je veux juste reporter ici, sans gloire excessive, promis, un des premiers retours d'une édition qui reste confidentielle, dans la mesure où il faut que l'acheteur fasse l'effort de commander (auprès de l'éditeur) en espérant que des libraires fassent l'effort de le vendre eux-mêmes. Je ne les blâme pas, le circuit est bouché, et les livres trop nombreux. J'en suis d'ailleurs revenu, de ces attentes et de ce mode de compétition: disons les choses telles qu'elles sont, je suis en vie, j'écris, j'habite un endroit qui m'émerveille tous les jours. Je suis heureux que "Paco" fasse partie de mon parcours, des premiers retours que j'en ai. Je suis heureux des mots de ce contrebassiste de jazz, récemment rencontré: l'avis des musiciens, vous l'aurez compris, m'importe beaucoup dans ce projet. Les autres aussi, évidemment.
"Ce que j'ai envie de croire, c'est que cette fantasia s'imprime comme les véritables pensées de Paco dans ma tête. Musicalement, c'est très intéressant et pertinent pour un amateur de flamenco comme moi. Je crois que je cerne mieux le "Duende" maintenant.
Sans vouloir te faire plaisir, ton roman est superbe, merci pour ce bon moment de lecture."
13:15 Publié dans Blog | Lien permanent
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