28/05/2015
Gabrielle.
Je travaille, avec tellement de retard, les textes, souvent brillants, des membres des ateliers d'écriture de Divonne, m'aperçois qu'ils ont compris les choses mieux que je l'aurais fait, que je peux, par contre, poser un regard critique sur la phrase mieux qu'ils le font, ce qui est normal. Pour autant, la Gabrielle qu'ils m'ont inventée a du chien, c'est certain. Elle me rend nostalgique, presque, de celle que j'ai créée moi, dans mon "Marius Beyle", celle à qui je fais dire, dans toutes les rencontres que je fais, que le sentiment, c’est la transformation des émotions en évidence.*
* "Marius Beyle", in "la 3ème jouissance du Gros Robert", Raison & Passions, 2013
18:16 Publié dans Blog | Lien permanent
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