10/05/2015
A Villequier.
Je n'aime pas mon accent lyonnais, ni le souffle qui me manque à la fin de cette élégie portée à bout de bras, mais l'instant vécu le fut pleinement, et dans une vie, ce n'est pas si courant. Je le remets, alors, m'en repais, encore, et pardonne à l'avion de la 7ème minute.
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