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08/03/2014

Coïncidanses.

Je m’impose une heure de marche par jour, pour sortir de la contrainte d’écriture: je marche sur les quais de ma ville en me récitant les passages de cette chanson qui a eu deux vies, et qu’on entendra peut-être en concert pour la première fois le 11 mai, pour une date “Littérature & Musique” dont je reparlerai. Mais les quais de ma ville sont bondés, désormais, et je ne trouve pas ma place dans ces mouvements conjoints. Alors je bifurque, comme je l’ai souvent fait dans ma vie, je marche à contre-courant, conscient de ne pas mener une vie bien normale mais heureux, à la fois, de ne pas avoir à la mener. Et puis je remonte, je m’enferme et je retourne là où j’en suis : en l’occurrence, à Paris, en 1912, rue de Varenne, tiens ! L’avantage des coïncidences d’auteur, c’est qu’elles sont voulues.

19:04 Publié dans Blog | Lien permanent

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