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16/03/2013

La jouissance du sens rend l'analyse interminable.

Image 4.pngC’est donc le week-end prochain que j’ai rendez-vous avec Robert. Avec mon gros Robert, dont la 3ème jouissance amène des proches à s’inquiéter du tournant érotique, version 5O grammes de quelque chose, de mes écrits. Rien de cela : la 3ème, c’est un cycle de conférences données par Jacques Lacan à Rome, qui détermine le réel de la jouissance dans la singularité du vivant et du verbe entremêlés. Et Robert, c’est un génie de la physique nucléaire non linéaire qui compense sa timidité par une consommation exagérée de M&M’s, verts inclus. Et le titre vient d’un malentendu, déjà, une confusion entre un dictionnaire de langue française en huit volumes et le personnage né du mélange. Je suis impatient comme on peut l’être de la naissance d’un petit dernier (avant longtemps), inquiet aussi, davantage du genre – on m’a encore confié aujourd’hui que les nouvelles n’intéressaient guère les lecteurs – que du résultat. Il y aura de tout, de l’historique (1ère guerre mondiale, Guerre d’Algérie), des histoires d’amour sous le sceau de Rodin & Claudel, des balades dans des villes, à Lille, à Paris ou à Lyon, on trouvera même un ressort comique inattendu dans une sombre histoire de riffifi et de saccage d’appartement. Il ne me reste plus qu’à attendre et espérer – une fois de plus – que je ne me heurterai pas aux lourdeurs de la diffusion aléatoire et de la paresse humaine, celle qui suit, juste après, la curiosité suscitée. Tout sur Robert, oui, bientôt.

17:41 Publié dans Blog | Lien permanent

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