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14/12/2012

Défroqué.

Il y a trois dimensions du pouvoir politique, nous plaute-t-on - sans échappée mais bas les pattes : la potentia, la potestas et l’auctoritas. C’est omettre une quatrième, délicate, brodée et jalousement gardée secrète, Celle qui, portée, devient ascendance, et qui, non, dessine désir et convoitise. Audace, quand on en est affublé, au participe passé. Quitte à n’y rien comprendre, puisqu’affublé de quelque chose de non porté. De vue. A qui on rend parfois aubade – à Lydie, en do. Sur des images mentales, libertines bien cachées, combattues par des transports, des larmes et des soupirs. On omet donc en en mettant ou en n’en mettant pas, c’est homérique. Les gougnafiers l’inversent en hôte du cul, les dilettantes s’en moquent comme de leur première, les badernes la portent haut, les pauvres hères en usent le fond avant de le toucher. Le sportif défait s’en prend parfois de belles en s’en privant trop vite,  Dagobert en devient ridicule, même le fumeur de pipe s’y met. Tout le plaisir est dans le changement, paraît-il. A chaque jour de la semaine suffit sa peine, ne peut-on (petit, aussi) qu’espérer. Parce qu’en sus de les user, il faut quelquefois faire ceux des tiroirs, pour suivre. Sur la forme. Le mieux reste qu’elle soit féminine, mais pas celles de trop près marquées, en phallocrates.  Si les panties viennent en mangeant, ce n’est ni celle du chien, orangée, ni celle du Suisse, bonne poire, encore moins celle de cheval, de bœuf ou de pigeon qu’on goûte. Sous peine de déguster, puisqu’Eros tique, si celle donnant dans la rouge nous dénonce à celles d’Aristote.  Au temps pour moi. Je vais m’en donner une bonne, en souvenir de celles que j’aurai aimées.  

NB: ma particpation à ça.

15:41 Publié dans Blog | Lien permanent

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