31/05/2012
Tébessa, 2012.
J’ai corrigé les quelques coquilles qu’on pouvait trouver dans l’édition originale de « Tébessa, 1956 » et pallié l’aberration footballistique qu’on y trouvait, immédiatement mise à jour par l’Inoxydable de mes amis, surnommé depuis, joliment je trouve, « l’historien de l’inutile ». J’ai relevé les erreurs de typographie, les mots coupés en deux, les espaces manquants, j’ai surmonté l’envie de réécrire complètement plusieurs passages : ce livre ne m’appartient plus depuis qu’il est sorti, en 2008, depuis qu’il a vécu plusieurs vies successives, jusqu’à la parution d’un extrait dans un manuel scolaire de référence. Ça n’a pas beaucoup changé mon quotidien et personne ne se presse pour que j’écrive pour lui : la société est bien mal faite, ma pauvre dame. Cela étant, si j’ai fait tout ça aujourd’hui, c’est parce qu’il y a retirage de ce roman. Et qu’à mon petit niveau, ça se fête, quand même. Je sais que des extraits de ce roman qui plait beaucoup à mon éditeur seront lus dimanche après-midi, au Village du Livre de Cuisery, un beau Salon alternatif. L’après-midi même où Chavassieux signe pour la première fois son « J’habitais Roanne », in situ. Si vous avez à choisir, allez à Roanne. Vous reviendrez vers moi quand « Tébessa » m’aura encore réservé, autant qu’à vous, quelque surprise de derrière les fagots.
PS : en fichier-joint, toujours « l’Embuscade », sous sa forme initiale. Cet été, elle sera enregistrée en studio, accompagnée de superbes musiciens : elle prendra sa forme définitive et nous aurons fait ce que nous avions à faire.
15:45 Publié dans Blog | Lien permanent
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