17/06/2012
Band on the run.
Il y a des limites physiques au grand cirque de l'intensité: on part le vendredi tôt après une trop courte nuit, on récupère un peu dans le train, puis une heure à l'hôtel avant de relancer la machine jusque tard dans la nuit, puis on dort, un peu, avant de retrouver les musiciens, de convenir d'en accompagner un jusque là où il doit jouer le lendemain et pour cela se lever (très) tôt. Et puis affronter, une fois rentré, le calme affolant d'un appartement vide. Mais le confort d'un lit douillet. Quitté en plein après-midi dans l'appréhension de ne plus y trouver le sommeil quand la nuit reviendra.
16:37 Publié dans Blog | Lien permanent
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