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06/04/2012

l'Art du cache-cache.

Ici, on me dit que ce roman met mal à l’aise. Là, qu’on n’en a pas dormi de la nuit, juste après la lecture. Qu’on éprouve une volonté réelle de sortir Emilie du marais où elle est tombée. J’en connais – au moins un – qui a préféré ne pas le terminer, d’ailleurs, ce roman, par peur d’y trouver ce qu’il subodorait. Ce malaise, cet étouffement, cette lucidité froide sur le monde des adultes, Gilles se l’est approprié, disais-je mercredi, au sortir de l’enregistrement. J’en publie ici un extrait, qu’il a déjà mis en ligne. On dira, cette fois encore, que je lis trop vite, que tout n’est pas intelligible. J’en pâlirais, à l’écoute du « Camille » mis en boîte, si ça n’était pas, pour moi, le rythme et la musicalité liés à la voix d’Emilie. Et de « la partie de cache-cache » en général.

17:03 Publié dans Blog | Lien permanent

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