25/11/2011
Permanence.
Je regarde les cigognes dans le parc du lycée de Rouffach. J'ai mené l'expérimentation métaphysique d'un voyage en Alsace, une espèce d'a-temporalité qui m'a amené dans des endroits dont j'ai toujours entendu parler mais que je n'avais jusque là jamais fréquentés. J'y retrouve un ami avec lequel l'accord tacite de se revoir quelles que soient les distances a été passé à la fin du siècle dernier. J'écris ces lignes vaines quand lui s'affaire: son bureau a proportionnellement grandi au fur que mes appartements diminuaient, mais rien n'a changé entre nous. Ça doit s'appeler un repère. En plus de ça, en lieu et place du portrait d'un quelconque représentant de la République trône au-dessus des piles de dossiers dépassant du hêtre, l'affiche du Tempo Latino 2011. Ça pose un homme.
16:58 Publié dans Blog | Lien permanent
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