29/09/2011
Candide & Voltaire.
Ce sont sans doute des livres d'automne, que j'écris, au vu des couleurs de leurs superbes couvertures. Je suis heureux que des éditeurs aient encore envie de donner de beaux livres, qu'ils ne cèdent pas au désir de leurs auteurs - du moins la première fois - d'être édités comme dans la page blanche. Heureux que des infographistes sachent leur métier et qu'il y aient des photographes (en tout cas, moi, j'en ai un!) pour trouver l'angle de vue et d'accroche. Ce livre-là mériterait un tirage de tête en cuir réel, chez Spalding ou Vuitton. Mais ça ne mettrait pas tout le monde sur le plan d'égalité qu'il recherche, donc non. Je fais le malin et je comble parce que je n'ai rien à dire. J'attends samedi, où je n'en dirai pas plus, mais vous laisserai partir avec le petit livre orange, deuxième du nom. Avec le souvenir des musiciens extraordinaires qui vont m'accompagner et annoncer la suite... Romain, de la librairie, a commencé le roman, il m'en a dit beaucoup de bien, déjà. C'est son rôle, mais j'ai presque envie de le croire. Moi, ce livre a trouvé sa place: dans les toilettes. Le lieu idéal pour en picorer quelques extraits. Allez, dédicace à ceux qui n'aiment pas mes fins et me réservent l'adresse comme épitaphe (une bonne idée en soi, la plaque mortuaire "j'ai pas aimé ta fin"!): tout irait presque bien, dites donc. Au moins sur ce terrain. Un double-decker bus devrait sans doute m'écraser avant la fin de la semaine. Ou un Tramway, tiens.
20:12 Publié dans Blog | Lien permanent
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