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24/06/2010

Jour de grève.

Voilà bien mon paradoxe: c'est au moment où les contingences se réduisent quasiment au strict minimum et que je bénéficie d'un temps de vacances dont il faut sans cesse rappeler au grand public qu'il ne m'est pas payé, que je ne parviens pas à me discipliner pour me mettre au travail. Je papillonne, je fais des petits films (ah, ça, j'en fais des petits films, dont le deuxième teaser de cache-cache, déjà prêt, qui me fascine moi-même: à se demander si ça va valoir le coup de sortir le roman, au bout du compte!), je virevolte à droite, à gauche (enfin, plutôt à gauche, aujourd'hui, quand même!), mais rien de bien conséquent ne sort. Ma vie n'est qu'un perpétuel entre-deux. Il vaudrait mieux que j'ouvre un skyblog, tiens! Enfin, quand même, samedi, un événement de première, un des marqueurs de mon existence... Paco de Lucia viendra m'enchanter de nouveau. C'est déjà ça: il y a plein de gens sur Terre, et on se demande pourquoi, qui voudraient que Dieu leur apparaisse: pour moi, ce sera la quatrième fois.

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